Utilisation clinique :
Mounjaro ne remplace pas l’insuline. Mounjaro ne doit pas être utilisé chez les patients atteints de diabète de type 1 (autrefois appelé diabète insulinodépendant).
L’emploi de Mounjaro en association avec des préparations d’insulines à action rapide, à action intermédiaire ou à double action n’a pas été étudié.
Mounjaro ne doit pas être utilisé pour traiter l’acidocétose diabétique.
L’innocuité et l’efficacité de Mounjaro n’ont pas été étudiées chez les enfants. Mounjaro n’est pas indiqué chez les enfants.
Contre-indications :
- Patients qui présentent des antécédents personnels ou familiaux de carcinome médullaire de la thyroïde (CMT) ou atteints d’un syndrome de néoplasie endocrinienne multiple de type 2 (NEM2)
- Patientes enceintes ou qui allaitent
Mises en garde et précautions les plus importantes :
Risque de tumeurs des cellules C de la thyroïde : Le tirzépatide a causé une augmentation de la fréquence des tumeurs des cellules C de la thyroïde, proportionnelle à la dose et liée à la durée du traitement chez des rats mâles et femelles. Les patients devraient être conseillés au sujet du risque de tumeurs de la thyroïde et renseignés sur les symptômes.
Autres mises en garde et précautions pertinentes :
- Ne doit pas être administré par voie intramusculaire
- Effets CV : Augmentation de la fréquence cardiaque
- Hypoglycémie attribuable à l’utilisation concomitante de sécrétagogues de l’insuline ou d’insuline
- Utilisation avec d’autres incrétines
- Cholélithiase ou cholécystite
- Pancréatite
- Insuffisance hépatique
- Hypersensibilité
- Œdème de Quincke
- Rétinopathie diabétique : surveiller l’évolution de la maladie chez les patients qui ont des antécédents
- Atteinte rénale aiguë : surveiller la fonction rénale des patients atteints d’insuffisance rénale qui signalent des réactions gastro-intestinales graves
- Femmes en âge de procréer
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